jeudi

Havaianas à l'assaut de l'Europe

Les célèbres tongs brésiliennes se portent très bien et si elles sont toujours le vêtement emblématique des Brésiliens, elles s'exportent également avec succès, notamment en Europe avec 24% de croissance (avec l'Afrique et le Moyen-Orient) ces cinq dernières années, selon le site FashionMag.com.

Sur le seul continent européen, la France est le troisième marché d'Havaianas derrière l'Italie et... le Royaume-Uni, mais devant l'Espagne. Aujourd'hui, le groupe carioca espère se faire d'autant plus connaître et reconnaître grâce aux prochains Jeux Olympiques de Rio en 2016 et entend poursuivre sa diversification en proposant, outre des tongs et des chaussures légères, des vêtements.

mercredi

Uber contre taxis, la polémique existe aussi au Brésil

Taxi
Si les images de la manifestation des taxis parisiens la semaine dernière ont fait le tour du monde, la rivalité entre Uber et les taxis est présente partout, à des degrés divers. 
Par contre, ici pas de manifestations contre. Brésiliens pacifistes ou désintérressés?
SINON, ICI, TOUT VA BIEN.


Les Brésiliens, acheteurs compulsifs ?

Les possibilités d’acheter sont nombreuses dans les grandes villes brésiliennes. Interrogés par le Service de protection au crédit, les habitants de 27 capitales d’Etat ont avoué, en majorité, avoir acheté compulsivement au cours des trois derniers mois.

Deux catégories de personnes sont davantage concernées que les autres : les classes supérieures et les femmes. Visibles dans beaucoup de vitrines, les promotions (51%) sont la principale raison du comportement de l’acheteur compulsif, devant l’attractivité du prix non promotionnel (31%).

Enfin, les supermarchés (30%) sont le premier lieu d’occurrence du phénomène, avant les centres commerciaux (20%) et Internet (17%).

Ce phénomène doit être mondial!?
SINON, ICI, TOUT VA BIEN...

vendredi

Azul s’empare de Tap et veut dominer l’Europe

La compagnie aérienne Azul a racheté cette semaine 61% de la Portugaise Tap. De nombreux investissements sont prévus, parmi lesquels l’acquisition de 52 Airbus et l’ouverture d’une dizaine de lignes reliant le Brésil aux Etats-Unis (Boston, Washington et Chicago). Certaines villes brésiliennes de plus d’un million d’habitants devraient avoir des vols directs pour le Portugal. L’objectif de AZUL/Tap est de devenir “la meilleure compagnie d’Europe“.
Le monde va être AZUL (Bleu)
SINON, ICI, TOUT VA BIEN...

mercredi

JBS s’empare de Moy Park

Le géant mondial de la viande, le Brésilien JBS, s’agrandit toujours plus en rachetant le Britannique Moy Park – spécialiste européen du poulet et des aliments prêts à consommer – à un autre Brésilien, Marfrig. Coût de l’opération : 1,3 milliard d’euros. Cependant, la vente doit encore être approuvée par les autorités européennes, ce qui devrait être effectif vers la fin de l’année. Grâce à cette acquisition, JBS va pouvoir s’implanter un peu plus en Europe et se renforcer dans le domaine des aliments prêts à consommer. Moy Park possède des usines dans divers pays européens dont la France.
SINON, ICI, TOUT VA BIEN...

ENVIE DE JUSTICE


Les compagnies aériennes brésiliennes GOL et TAM viennent d´être condamnées par la justice du pays à cause d´un premier check in OnLine à faire sur une borne dans l´aéroport avant d´en faire un autre, du genre traditionnel, au guichet avant l´embarquement.

L´argument de la justice est qu´une entreprise ne peut obliger un client à faire une chose alors qu´il n´en a pas envie.

Est ce que l´exemple sera suivi par les supermarchés, les postes à essence ou même les compagnies aériennes quand elles augmentent leurs prix alors que les clients n´en ont pas envie?
Hein???
SINON, ICI TOUT VA BIEN...

jeudi

LEGITIME DEFENSE

Jorge Farah Farah né en 1949 est un ex chirurgien plastique, mis en examen et condamné en première instance pour homicide doublement qualifié (qui ne donne pas l'occasion de défende à la victime) et destruction ainsi que dissimulation de cadavre. Le crime, commis le 24 janvier 2003, avec une cruauté a été pratiquée à l'encontre de sa patiente Maria do Carmo Alves, qui était alors âgé de 46 ans. Afin d'empêcher la reconnaissance du corp, il a retiré la peau du visage de sa victime après lui avoir coupé les mains et les pieds, en gardant les restes dans des sacs en plastique dans le coffre de sa voiture.


Son jugement définitif après de nombreux recours, à lieu actuellement, 11 ans après (commencé le 12/05/2014).
L´accusé plaide la LÉGITIME DÉFENSE.
Hein???
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MÉDICAMENTS

Au Brésil, la file d´attente pour recevoir gratuitement des médicaments pour les patients atteints de maladies de longue durée à baissée énormément dans tous le pays. Ceci est une bonne nouvelle.
Le seul problème est qu´il n´y a plus de médicaments à distribuer...
Hein???
SINON, ICI TOUT VA BIEN...


dimanche

Bem de vista

Uma lei aprovada pela cidade de Itupeva (SP) torna obrigatório o exame de vista para todos os estudantes da rede municipal. O projeto foi apresentado pela fabricante de óculos Suntech Supplies, dona da marca HB, que vai oferecer armações para as crianças que necessitarem.


Uma outra visão do skate

Visão de skate
A Quiksilver, marca de roupa e acessórios para esportistas radicais, vai lançar no Brasil um modelo de óculos de sol feito a partir de shapes de skates reciclados. O produto utiliza a madeira de skates usados e foi desenvolvido pelo Vuerich B, de Barcelona, na Espanha.

Apesar de ser feita de material reciclável, a peça tem preço de grife de luxo: R$ 1,5 mil. Um dos chamarizes do modelo é o fato de cada par de óculos ter um desenho único, proporcionado pelas linhas da madeira. O projeto conta com a parceria da fabricante de lentes Carl Zeiss.

vendredi

PARABÉNS A VOCÊ DO RAMO ÓPTICO, HOJE É SEU DIA 13/12 - DIA DO ÓPTICO


PARABÉNS A VOCÊ DO RAMO ÓPTICO, HOJE É SEU DIA 13/12 - DIA DO ÓPTICO

Este foi a mensagem que recebi hoje na minha caixa de email. O cúmulo que ele foi enviado por um óptico!

VOCÊ do RAMO ÓPTICO???

Aqui, no Brasil, quem é do "Ramo óptico” não é obrigatoriamente óptico, da mesma maneira que quem é funcionário público da prefeitura não é prefeito e quem trabalha dentro de uma farmácia não é farmacêutico.
Tenta desejar um feliz dia do Médico para a secretária dele!

Enquanto continuamos misturando os cargos dentro da Óptica, nunca conseguiremos, no Brasil, um reconhecimento da população e dos colegas da saúde.

Trabalhar no ramo óptico deve ser reservado aos ópticos com exclusividade.

Lógico que estou me referindo a ópticos devidamente formados e diplomados possuindo, no mínimo, um diploma de Técnico em Óptica.

dimanche

MIEUX VAUT MOTARDE QUE JAMAIS

Même si elles ne roulent pas forcément en blouson de cuir noir avec un aigle sur le dos, les femmes représentent aujourd’hui 20 % des conducteurs de deux-roues en France, et les chiffres sont en augmentation.

Selon le site motarde.com, en 2012, elles ont même représenté 12,91 % des permis moto délivrés contre 1,55 % il y a quarante ans.

Il est vrai que lorsqu’on mesure moins de 1 m 60, chevaucher un « gros cube » est un exercice plutôt ardu. Cependant, les problèmes de maniabilité dus au poids de l’engin peuvent être compensés par des acquis techniques. Il existe pour cela des stages de pilotage 100 % féminins avec 34 heures de plateau (circuit) et 12 heures de circulation sur cinq jours. Coût : 1 399 €. (Plus d’infos sur : www.monneret.com).

Problème...

11 X 11 = 4,
22 X 22 = 16,
33 X 33 = ?

vendredi

Des billets plus verts que vert...

Qui a dit que l’argent était la source de tous les maux ? On peut être tenté de revoir le dicton à l’annonce de ce projet, soutenu par la Banque centrale du Brésil, consistant à transformer les billets retirés de la circulation en engrais pour les terres des petits agriculteurs du Pará [un des Etats amazoniens du Brésil]. Une fois lardé de petites perforations qui lui enlèvent sa valeur monétaire, mélangé à un compost à base de paille et de détritus de fruits et légumes, le papier-monnaie va devenir engrais.

mardi

Mea culpa de "Globo"...

Depuis les manifestations de juin, un slogan est repris en chœur dans les rues du Brésil : "A verdade é dura/O Globo apoiou a ditadura" ["La vérité est dure, O Globo a soutenu la dictature"]. C'est bien une vérité, et une dure vérité.

Il y a déjà des années qu'en interne le grand groupe de médias Organizações Globo reconnaît qu'avec le recul de l'histoire ce soutien fut une "erreur". Les gouvernements comme les institutions doivent répondre, d'une façon ou d'une autre, à la clameur populaire.

C'est ce que nous faisons aujourd'hui, pour réaffirmer notre attachement inconditionnel et durable aux valeurs démocratiques, en reproduisant ici le texte intégral de ce mea culpa, désormais disponible aux côtés de l'ensemble de nos archives en ligne et du projet Memoria [qui reconstitue en ligne les quatre-vingt-huit ans d'existence du quotidien].

"Dès qu'un reportage ou un éditorial leur déplaît, il n'est pas rare que les lecteurs mécontents rappellent qu'O Globo a soutenu, par sa ligne éditoriale, le coup d'Etat militaire de 1964.

Cette réalité est un fardeau pour notre journal, mais rien ne permet de la démentir. Elle fait partie de l'Histoire. A l'époque, O Globo a effectivement approuvé l'intervention des militaires, à l'instar d'autres grands quotidiens du Brésil tels O Estado de São Paulo, A Folha de São Paulo, O Jornal do Brasil et O Correio da Manhã, pour n'en citer que quelques-uns. Une frange importante de la population brésilienne l'approuvait également et de façon expresse, en participant à des manifestations et à des défilés dans les rues de Rio, de São Paulo et d'autres grandes villes.

Dans ces moments, l'on justifiait l'intervention des militaires par la crainte d'un autre coup d'Etat, mené par le président en place João Goulart [le dernier président de gauche avant l'arrivée de Lula en 2002], surnommé Jango, avec le soutien marqué des syndicats – le chef de l'Etat était soupçonné de vouloir instaurer une "république syndicale" –, mais aussi d'une partie des forces armées.

Le soir du 31 mars 1964, rappelons-le, la rédaction d'O Globo a été envahie par les fusiliers marins commandés par l'amiral Candido da Costa Aragão, issus du "dispositif militaire" de Jango, comme on disait à l'époque. Le journal n'a pas paru le lendemain 1er avril. Il est en revanche sorti le lendemain, avec l'éditorial que l'amiral avait empêché de paraître, "La décision de la patrie". Et avec un autre éditorial en une :"La démocratie renaît".

Dans ce contexte, ce coup d'Etat qualifié de "révolution", terme longtemps repris par O Globo, était vu par le journal comme la seule solution permettant au Brésil de rester une démocratie. Les militaires promettaient une intervention brève et chirurgicale. Selon la justification fournie par les forces armées pour leur intervention, une fois dissipée la menace d'un coup d'Etat de gauche, le pouvoir reviendrait aux mains des civils. Si bien que dans un premier temps, comme promis, les élections présidentielles prévues pour 1966 ont été maintenues.

La suite de la "révolution" est connue. Les élections n'ont pas eu lieu. Les militaires sont restés vingt et un ans au pouvoir, pour ne le quitter qu'en 1985, avec l'arrivée de José Sarney, vice-président du président Tancredo Neves, encore élu au suffrage indirect et décédé sans avoir été investi.

samedi

São Paulo, c’est une ville de fous

Quand je traverse l’Ipiranga [le cours d’eau, très pollué, qui traverse la ville], mon cœur réagit. Et pas agréablement. Sans doute est-ce le résultat du stress combiné au taux élevé de la pollution atmosphérique. J’ai le sentiment de vivre dans un environnement de folie généralisée, une folie dont personne ne semble se rendre compte, à l’instar des Napoléon des asiles d’aliénés, qui se sentent parfaitement normaux, aussi normaux que le Napoléon original. Voilà ce que je pense de la ville de São Paulo : c’est une usine de fous folle et incontrôlable. La ville est trop grande, trop peuplée, trop invivable, trop chaotique. Caetano Veloso a chanté un São Paulo qui construit et détruit de belles choses. C’est une demi-vérité : il suffit de voir d’anciennes photos de la ville pour comprendre que la part de la destruction excède largement celle de la construction.

Je ne suis pas en train de défendre ni d’idéaliser les communautés rurales modestes. Il est incontestable que l’humanité a toujours produit ses meilleures idées, ses meilleures œuvres d’art et ses découvertes scientifiques dans l’environnement agité des grandes villes. Mais tout a une limite. Une grande ville, c’est une chose ; une mégapole comme São Paulo en est une autre, bien différente, qui doit chercher toujours plus loin pour s’approvisionner en eau afin que le Paulistano [habitant de la ville] puisse laver sa voiture et son trottoir ; qui a enterré et enterre rivières et ruisseaux ; qui a déboisé et continue à déboiser, gagnant sur ses frontières à une vitesse hallucinante ; qui produit quotidiennement un océan de déchets impossible à traiter ; qui alimente les égouts de façon apocalyptique ; qui met en circulation tous les jours plus de 1 000 nouvelles voitures ; qui non seulement est inégalitaire, mais considère cette inégalité comme l’une de ses caractéristiques les plus marquantes, chose dont s’enorgueillissent nombre de Paulistanos ; qui produit des gens stressés prêts à commettre les crimes les plus absurdes. Une ville, enfin, où la théorie de la “foule solitaire” est parfaitement mise en pratique. São Paulo n’est évidemment pas la seule mégapole au monde. Mais si les optimistes aiment la comparer à New York, Londres ou Berlin, je dirais plutôt qu’elle ressemble à Dacca, Bombay ou Kinshasa.

São Paulo possède, bien entendu, des aspects positifs. Ceux qui sont sans cesse célébrés par ses fans les plus absolus : cinémas, spectacles, théâtres, musées, librairies, bars, gastronomie variée et internationale. Mais même moi (ainsi sans doute qu’une bonne partie de mes concitoyens), je profite de moins en moins de tout cela. Prix élevés, files interminables, risque d’agression, circulation bouchée…

Internet est la librairie que je fréquente le plus ces derniers temps. La télé par abonnement est mon cinéma. Mon bar préféré est à 300 mètres de chez moi et n’est guère différent de n’importe quel bar dans n’importe quelle ville du pays.

Platon et Aristote recommandaient déjà le contrôle de la natalité, car ils n’imaginaient pas qu’une ville raisonnable puisse excéder quelques milliers d’habitants. En définitive, dans la mégapole, même la démocratie est mise en échec : comment un maire et 55 conseillers municipaux peuvent-ils raisonnablement représenter une population de plus de 11 millions de personnes ?

São Paulo est invivable. Nous sommes tous fous et nous ne nous en rendons pas compte.

mardi

Crise diplomatique Brasil Bolivia

De fortes tensions entre la Bolivie et le Brésil ont surgi après la fuite, à la fin de la semaine dernière, de Roger Pinto Molina un sénateur bolivien qui était réfugié à l’ambassade du Brésil à La Paz depuis quatre cent cinquante-cinq jours. Molina, un opposant d'Evo Morales qui accuse le président de corruption (et qui est lui aussi accusé par le gouvernement de corruption), a fui au Brésil avec l’aide d’Eduardo Saboia, un diplomate brésilien accrédité. En raison du scandale, "le ministre des Affaires étrangères du Brésil Antonio Patriota a démissionné" après une réunion avec Dilma Rousseff, rapporte le site.

Le pape est argentin et dieu est brésilien...

Le premier pape originaire d'Amérique du Sud - il est né et a grandit en Argentine - est arrivé hier 22 juillet à Rio de Janeiro, au Brésil, où se sont ouverts les Journées mondiales de la jeunesse.

Il a reçu un accueil chaleureux de la part des jeunes Brésiliens (mais aussi des Argentins, venus nombreux au Brésil), dont il a salué l'engagement et les demandes de changement social. Fidèle à son style direct qui a marqué le début de son pontificat, François est apparu au plus près des gens dans la rue.

Il a en effet souhaité rencontrer le peuple brésilien avant de rencontrer les dirigeants politiques du pays ; il a refusé de se déplacer dans une voiture blindée, et a demandé à ce qu'aucune arme - y compris celles des agents des services de sécurité - ne soit visible sur son parcours.le Pa

vendredi

Une nouvelle manifestation est prévue ce lundi (17) à partir de 17h à Sao Paulo

À la veille de l’ouverture de la Coupe des Confédérations, le Brésil est en prise à une vague nationale de manifestations contre l’augmentation des prix des transports publics. Lors de la quatrième manifestion organisée hier le 13 juin à São Paulo, les forces de l'ordre ont répondu avec une plus grande violence.
Plus de 80.000 manisfestants présents
.

lundi

Manifestations au Brésil



La contestation a commencé jeudi (6) à São Paulo où le prix du billet de métro est passé de R$: 3,00 a R$: 3,20 (1 Euros = R$2,80) au début du mois de juin. Une manifestation bloquait l’Avenida Paulista, l’artère centrale de la ville. 6 000 personnes étaient présentes selon les organisateurs, 2 000 selon la police. La foule défilait sous le slogan « Si les prix ne baissent pas, São Paulo va s’arrêter. »
Une nouvelle manifestation organisée par la même association avait à nouveau paralysé la zone ouest de la ville vendredi (7). Le groupe annonce un 3ème rassemblement aujourd’hui le 10/06 à 17h, dans le centre de la capitale Paulista avec toujours les mêmes revendications : l’annulation de la dernière hausse du prix des transports, jugée « abusive. »
Au cours de ces manifestations, plusieurs affronteMments contre entre manifestants et force de l’ordre ont été recensés ainsi que de nombreux actes de vandalisme. Le Movimento Passe Livre dénonce une « répression brutale et violente » de la part de la police. « La police militaire ainsi que la garde civile sont prêtes à intervenir» a déclaré Fernando Haddad, le maire de São Paulo à propos de la manifestation prévue aujourd'hui. La semaine dernière la police a utilisé des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc pour disperser les manifestants.
Une manifestation a réuni hier (10) 300 personnes devant la mairie de Rio, dans le centre de la ville. La police militaire est intervenue après que plusieurs manifestants aient commencé à détruire des barricades. A Rio le prix du billet de bus a augmenté le 1er juin, de 2,75R$ à 2,95R$.

vendredi

Coletes, encoletados, clubes e grupos.



Depois  de refletir muito a respeito dos coletes, dos coletados, dos clubes e dos grupos… o que tem por trás? Qual a inspiração para se usar um colete? Será  que se trata de inspiração. Pode ser moda? Necessidade de identidade? Mostrar uma etiqueta de pertencimento? O que move a pessoa que está por detrás de um colete?

São essas as perguntas que faço e que acredito que não serão respondidas, mas que pretendam ser o início de uma reflexão para todos, inclusive para mim.
Não podemos pensar que simplesmente usar um colete faz a pessoa ser responsável ou ser um bom motociclista. Não podemos banalizar o seu uso.

Onde tudo começou ?
No início da era do motociclismo, os primeiros MCs, do jeito como os conhecemos hoje, eram formados por veteranos do exército que usavam o mesmo tipo de identificação com a qual eles estavam acostumados durante a Segunda Guerra Mundial: jaquetas de couro com pinturas indicando o seu esquadrão, inspiradas na nose art das aeronaves.
Por muito tempo a jaqueta de couro serviu dois propósitos: identificar o motoclube da qual o dono fazia parte  e se proteger dos inevitáveis tombos, já que os pioneiros eram chegados em corridas e não existe nada melhor do que o couro para salvar nossa pele. A razão de se trocar as jaquetas pelos coletes de couro ou jeans, nunca ficou clara. Mas existem algumas teorias:
Uma que acredita na influência dos cowboys, os vaqueiros americanos que usavam coletes de couro para proteger o peito do frio, mas de forma a deixar os braços livres para se movimentarem e cavalgarem melhor.
Outra teoria acredita que os coletes também foram à maneira encontrada de se mostrar o logo do clube tanto no calor como no frio, já que os primeiros grandes MCs surgiram na ensolarada Califórnia. Um colete jeans, por exemplo, pode ser usado tanto sobre uma camiseta quanto sobre uma jaqueta de couro, e você continua mostrando as cores do seu clube em ambas situações.
Sem falar que existe um motivo muito prático para os coletes fazerem tanto sucesso entre quem anda de moto, e que vai muito além da imagem dos motoclubes: bolsos e mais bolsos. Não tem jeito melhor de carregar as pequenas coisas do dia a dia do que nos bolsos de um colete (cigarros para quem pita, não é, presidente?). E para mulheres poder carregar batom e celular.
E aí sempre surge aquela velha discussão: mesmo não sendo de um MC ou MG posso usar um colete? Claro que pode. Você é livre para fazer o que quiser desde que não provoque ninguém, como imitar a logo de um MC ou MG existente. Nem usar adereços de clubes se você não faz parte deles. Afinal esse pessoal suou para conquistar seus escudos.
Mas se você quer ter um sentimento de pertencimento, com um grupo, minha dica é que você procure um MC ou MG na sua cidade. Descubra quem são, quais são seus objetivos, filosofia e princípios. Se forem consoantes com suas convicções procure saber como fazer parte, quais as regras.
Posso dizer de coração que não existe satisfação maior do que estar entre amigas com um propósito. Um espírito que une mulheres tão diferentes, com histórias únicas, mas que se entrelaçam, se misturam e por vezes, se confundem. Amigas que procuram seguir um estatuto, que procuram ser a cada dia uma motociclista melhor. Que batalham para conquistar o seu colete porque não é apenas uma peça de couro: é o resultado de uma luta por pertencimento.
E a entrega (ou merecimento) do colete é uma festa para todas, não somente para a aspirante, mas para todas do grupo. É um acontecimento lindo e memorável, onde relembramos a trajetória da motociclista, como nos conhecemos, tudo o que passamos juntas e pra finalizar, o grande ritual de entrega do tão sonhado colete.
O colete nos identifica para os outros, para os que estão de fora, porque entre nós é o espírito que fala, que transborda e que nos mostra dia-a-dia que estamos no lugar certo, que pertencemos a uma mesma família. O significado do colete está dentro de nós e simboliza o que somos e o que representamos para o Moto Grupo e para o motociclismo. E isso se reflete nas nossas atitudes e levamos para toda a vida.
Por fim uma advertência: Com colete ou sem colete seja você mesmo, consciente e apaixonada por motociclismo, sem modismos. Essas qualidades nos aproximam e nos fazem irmãos e sempre haverá respeito, independente do brasão que carrega.
Venha para o meu mundo e boas estradas!

MiTchel


samedi

Virée Culturelle

Une programmation variée

Sur le plan artistique, la chanteuse brésilienne Daniela Mercury a ouvert les festivités samedi à 18h sur la scène Júlio Prestes. Ovationnée par le public, la chanteuse a profité de sa présence sur scène pour prononcer un discours contre l’homophobie, et en faveur du mariage homosexuel.

Une des nouveautés de cette édition est le retour du groupe de rap Racionais MC’saprès 7 ans d’absence. Le groupe avait été sanctionné par l’organisation après un affrontement entre le public et les forces de l’ordre lors de sa dernière participation au festival. Lors de leur concert dimanche, Mano Brown, un des membres du groupe, a d’ailleurs condamné les actes de violences survenus dans la nuit : « ce que j’ai vu dans le centre est loin d’être évolué » a-t-il déclaré à la foule.

Plusieurs milliers de personnes ont pleuré avec le groupe A Banca dans la nuit de samedi à dimanche. Anciennement Charlie Brown Jr, le groupe a offert au public un homage à Chorão, son chanteur star récemment décédé.

Parmi les réussites du festival, il faut aussi compter "Chefs na rua". Une trentaine de chefs s’étaient installés dans des baraques le long de l’Avenida São Luis et proposaient au public de découvrir leur cuisine à prix réduit. Il fallait notamment attendre de longues minutes pour déguster les hot-dog de Raphael Desprite, du restaurant Marcel.

La victoire de la culture, et après ?

Le maire de la ville considère cette Virada Cultural comme l’une des meilleures : « la Virada Cultural a accompli sa mission principale de promouvoir la diversité et le respect, au travers de multiples représentations artistiques » a-t-il affirmé lors de la conférence de presse organisée dimanche. « Je dirais que c’est une des meilleures Virada Cultural à São Paulo. La culture a gagné, elle a beaucoup gagné » s’est-il félicité.

Enfants, amateurs de danse, de théâtre ou de musique, tous ont pu trouver un spectacle à leur goût. Sur le plan de la programmation, la Virada Cultural 2013 a été un succès. L’initiative de sortir la culture des quartiers les plus riches et d’organiser un évènement majeur dans un des secteurs difficiles (le Centro) est elle aussi louable. Cependant les cas de violence l’ont montré : la culture ne suffit pas toujours pour résoudre les problèmes d’une société marquée par les inégalités.

lundi

LE KETCHUP HEINTZ EST BRÉSILIEN



 
Pour 28 milliards de dollars, un groupe d’investisseurs dit le "3G" s’est offert le ketchup Heinz, l’entreprise familiale de l’épouse de l’ex-candidat à la Présidence et actuel Secrétaire d’Etat des Etats-Unis John Kerry.

Le groupe 3G est déjà l’administrateur de Anheuser Busch Inbev, le plus grand brasseur du monde, qui englobe le Brésilien Ambev (Compagnie des Boissons Américaines), les Belges Stella Artois, Beck’s, Jupiler, Leffe entre autres, et l’Américain Budweiser. Le capital est à majorité aux mains de 300 familles belges, mais la gestion de AB Inbev est en mains brésiliennes dès la fondation du groupe belgo-brésilien Ambev en 2004. Heinz va rejoindre ce conglomérat, qui a déjà absorbé en 2010 la chaîne de fastfood Burger King.

vendredi

Casa Godinho

Dans l’épicerie Casa Godinho, le service apporté au client est immuable depuis 1888.
 Le magasin, situé au 340 de la rue Líbero Badaró, dans le centre de São Paulo, est officiellement le premier bien immatériel protégé par un organisme de la municipalité, le conseil municipal de préservation du patrimoine historique.

                                                                              Cette décision unanime pour la protection immatérielle a été publiée la semaine dernière dans le "Diário Oficial" et reconnaît l’établissement comme une « référence dans la mémoire affective » des habitants de São Paulo. Des personnalités de la politique comme Assis Chateaubriand, Adhemar de Barros et Jânio Quadros ont été clients de ce magasin et, si cette protection immatérielle est une belle récompense, elle est aussi une contrainte, car à partir de maintenant le magasin devra préserver les caractéristiques de son service au client.

Son comptoir pour servir les clients est aussi une « référence spatiale notable » selon le Conpresp. Pourtant, le comptoir et les étagères du magasin sont sur la liste du Conpresp depuis 2009 pour être inscrits également au patrimoine immatériel de São Paulo. Affaire à suivre…

De même, d’autres biens immatériels, comme l’accent du quartier italien Mooca ou la traditionnelle « Festa de San Gennaro » de ce même quartier, sont aussi sur la liste d’attente du conseil municipal historique de São Paulo.

mercredi

CHAMPAGNE MADE IN CHAMPAGNE


Le Champagne consommé au Brésil ne pourra plus être produit sur place. Les autorités françaises viennent d'obtenir la reconnaissance par le Brésil de l'appellation d'origine géographique "Champagne". L'objectif réside davantage dans la protection d'une image de marque que dans un potentiel de croissance des exportations.

Les "bulles" que vous vous apprêtez à déguster pour les Fêtes proviennent-elles de la région champenoise? Pour un consommateur français, la question ne fait aucun doute. A l'étranger en revanche, elle mérite d'être posée. Au Brésil par exemple, il était autorisé jusqu'à mardi de commercialiser du mousseux brésilien sous l'étiquette "Champagne". Une pratique à laquelle les autorités françaises viennent de mettre fin. Le ministre brésilien en charge du développement, de l'industrie et du commerce Fernando Pimentel a en effet signé mardi 11 décembre l'acte de reconnaissance de l'appellation d'origine géographique "Champagne" à l'occasion de la visite à Paris de Dilma Rousseff, la présidente du Brésil.
C´était CHAMPANHE, maintenant c´est CHAMPAGNE.
Ça s´arrose!
"Nous espérons ainsi lutter contre la contrefaçon", explique-t-on au cabinet de Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur. "La protection des indications géographiques, qui identifient l'origine et la qualité d'un produit, est essentielle à la promotion du savoir-faire français à l'étranger", soulignent Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire, Nicole Bricq ainsi que Guillaume Garrot, le ministre délégué de l'Agroalimentaire.

La demande traînait depuis 5 ans :
Toutefois, la demande ne date pas d'hier : elle date de 2007! Pourquoi autant de temps pour cette reconnaissance? "Cela est certainement dû au fait que les autorités brésiliennes ont consulté les producteurs locaux de vins effervescent", pense-t-on au cabinet de la ministre du Commerce extérieur.

Cette reconnaissance va-t-elle avoir un impact sur le volume des importations de Champagne par le Brésil? "Difficile de le dire, ce n'est pas fait dans une logique purement commerciale", considère-t-on au sein du Comité Interprofessionnel des Vins de Champagne (CIVC).

Anglais et Américains sont les plus grands amateurs de Champagne :
Le Brésil constitue l'un des partenaires privilégiés de la France pour ses exportations: les ventes de produits français à destination de ce pays sont en augmentation de 20,27% sur la période allant de janvier à septembre 2012 et atteignent 3,466 milliards d'euros selon Le Moci.

Mais l'agroalimentaire n'est pas le domaine qui tire réellement son épingle du jeu. En valeur, les familles de produits qui se détachent sont plutôt les matériels de navigation aérienne et spatiale, les équipements mécaniques et chaudières et les véhicules.

Concernant le Champagne, les principaux pays importateurs sont, dans l'ordre, le Royaume-Uni, les Etats-Unis (19,4 millions de bouteilles importés en 2011) et le Japon, puis l'Allemagne, la Belgique, la Chine... Sur les 323 millions de bouteilles de Champagne vendues en 2011, 44% (soit 143 millions de bouteilles) l'ont été à l'export. Le Brésil s'est porté acquéreur d'un million de ces bouteilles, soit 7% de plus qu'en 2010. On comprend donc que l'enjeu de cette reconnaissance d'appellation réside davantage dans la protection d'une image de marque que dans l'espérance d'un accroissement considérable des volumes de ventes.

Deux visions s'opposent :
Dans la même logique, les autorités françaises sont actuellement en négociations avec la Chine pour obtenir la même reconnaissance et éviter ainsi que le terme "Champagne" ne soit galvaudé.

Au sein de l'Union européenne, le droit communautaire reconnaît les appellations d'origine géographique, il y a donc relativement peu de difficultés à faire respecter l'usage du nom "Champagne". En revanche dans d'autres pays, en particulier ceux où le droit est d'inspiration anglo-saxonne, comme aux Etats-Unis, le droit des marques prévaut sur la protection géographique. Les négociations s'y annoncent donc plus tendues. "Il y a clairement deux visions qui s'affrontent", explique-t-on au cabinet de la ministre du Commerce extérieur. La Russie et les Etats-Unis ne reconnaissent pour l'instant pas cette appellation et des producteurs nationaux peuvent donc y commercialiser des mousseux sous le nom de "Champagne" en toute légalité.

Au rayon des initiatives pour la reconnaissance du patrimoine champenois, une autre action retient l'attention : le dépôt le 21 septembre dernier d'une demande d'inscription des "Coteaux, Maisons et Caves de Champagne" au Patrimoine mondial de l'Unesco par une association de producteurs. A charge au gouvernement français de choisir en janvier 2013 les deux candidatures qui représenteront la France dans cette compétition, dans la catégorie "paysages culturels".

Latribune

samedi

ILUSTRAÇÃO DO ARTIGO LOGO ABAIXO

Modelo Inês de la Fressange que segue a cor do pantome 2013.
Foto Visavis International


Pantome 2013

Depois do Tangerine Tango ser considerada a cor de 2012, a Pantone anunciou a tonalidade de 2013. O Verde Esmeralda é a aposta da empresa especializada em tecnologias e tendências relacionadas às cores e surge como inspiração para as próximas estações. Leatrice Eiseman, diretora executiva do Pantone Color Institute, defendeu a escolha da cor: “A tonalidade mais abundante na natureza, o olho humano vê mais verde do que qualquer outra cor no espectro. O Verde Esmeralda traz uma sensação de renovação, clareza e rejuvenescimento, que é tão importante no mundo complexo de hoje. Esse tom poderoso e universalmente atraente é traduzido facilmente para a moda e para o design de interiores”.